C’est en Irlande qu’Audrey Fleurot, tout juste sacrée « actrice préférée des Français »*, a passé les premières vacances de sa vie d’étudiante - un mois en camping tout autour de l’île avec sa meilleure amie. C’est aussi en Irlande, à Kilkenny, qu’elle a reçu son premier prix dans un festival européen de cinéma – un moment qui l’a beaucoup émue et troublée, « car [sa] patrie de cœur était la première à [la] récompenser ». C’est en Irlande, toujours, qu’elle projette de passer ses prochaines vacances, en « rando-lodge ». Il était donc naturel que le Tourisme Irlandais, agence chargée de la promotion du tourisme en Irlande sur le marché français, fasse appel à cette inconditionnelle de l’île d’Emeraude pour sa nouvelle campagne digitale.
Cette communication sort le 17 mars, un jour doublement symbolique puisqu’il marque à la fois la St Patrick, fête nationale irlandaise fêtée partout dans le monde, et la révélation au public de la statue de l’actrice au Musée Grévin.
Cette opération de communication consiste en une dizaine de vidéos de formats allant de 10 secondes à 3 minutes, diffusés sur le site www.irlande-tourisme.fr et les réseaux sociaux de l’office - (@TourismeIrlandais sur Facebook, Instagram, Youtube et @VacancesIrlande sur Twitter). Dans ces courtes vidéos, l’actrice partage avec le grand public ses émotions, ses souvenirs, ses conseils, ses coups de cœur et ses projets en Irlande – en un mot, ce qui la fait vibrer et ce qui devrait selon elle faire battre le cœur des Français.
L’actrice déclare : « J’avais une sorte de fantasmagorie sur l’Irlande, je me sentais une filiation immédiate : comme il y avait beaucoup de roux là-bas, je fantasmais sur l’idée que j’avais potentiellement des souches irlandaises – ce qui s’est avéré totalement faux ! Mais ce sentiment de connexion que je me suis inventé ici a été confirmé par les voyages que j’ai faits là-bas. »
Selon Audrey Fleurot, l’Irlande a l’art de marier les contrastes et c’est ce qui la rend unique à ses yeux. Alliant une authenticité rare, visible notamment dans l’artisanat et les traditions préservés, et une fabuleuse offre technologique ; passant de villes vibrantes d’activités culturelles et de festivals à une nature omniprésente ; enfin, opposant un socle culturel celtique très dépaysant pour les voyageurs de culture latine, à une proximité géographique et une multitude de références communes qui en font notre plus proche voisin, une destination où « tout nous paraît à la fois follement exotique et très proche ».
Elle pense également que si les Français aiment tant l’Irlande, c’est pour « son authenticité et une chaleur qui nous manquent peut-être un peu », ainsi qu’ « une reconnexion avec la nature et avec les gens ».
Avant de finir sur une véritable déclaration d’amour : « Comme on choisit ses amis, on peut aussi se choisir des terres de cœur. L’Irlande, c’est ma terre de cœur, une filiation que je me suis inventée. Je m’y sens libre, joyeuse et dans mon élément ».